MON PARCOURS

Après une formation initiale en kinésithérapie, j'ai rapidement été attirée par une approche globale du patient ; j'ai donc étudié la méthode Mézières (rééducation posturale), puis l'ostéopathie.
Entre temps, j'ai effectué un séjour de cinq années au Japon pour approfondir ma pratique de l'Aïkido et étudier le Shiatsu, une thérapeutique traditionnelle.
Plus récemment et sur les conseils d'un ami ostéopathe qui avait suivi différentes formations en hypnothérapie, j'ai décidé de me former, comme lui, à l'Eïnothérapie, une hypnose du corps.
Car de nombreux liens peuvent être établis entre ma pratique de l'ostéopathie et l'eïnothérapie (vient de "eïnai" qui signifie "être" en grec ancien).
Entre autres, l’idée selon laquelle le corps, donc l'individu, est en capacité de se transformer par lui-même. Le praticien n'est là que pour rendre possible le processus de cette transformation, celle-ci étant nécessaire au bien-être.

1984 : diplôme d'État de kinésithérapeute (formation en 3 ans)
2000 : diplôme d'ostéopathe (formation en 6 ans)
2023 : certificat d'eïnothérapeute (formation en 2 ans) 

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QU'EST-CE QUE L'EÏNOTHÉRAPIE ?

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Bernard Sensfelder, psychologue et hypnothérapeute, auprès duquel je me suis formée, se situe dans la continuité des travaux de François Roustang, qu'il a enrichis de ses connaissances en neurosciences et de sa pratique du Zen.
F. Roustang, après avoir été psychanalyste, s'est tourné vers l'hypnose. Cependant, il s'est démarqué de l'hypnose dite « ericksonienne » (la plus couramment utilisée), en replaçant le corps au centre de la pratique qu'il a rendue globale, totale.
Il s'agit de ne plus isoler le symptôme, ne plus essayer de le comprendre et utiliser l'hypnose comme un « état dans lequel les circonstances, l'ensemble des paramètres de [l']existence vont pouvoir remettre [l'individu] en place ».
Pour ce faire, cette hypnothérapie est une voie, un chemin pour retrouver la personne que nous sommes et non le personnage que nous avons fabriqué pour pouvoir vivre avec nos peurs et nos sentiments de culpabilité accumulés dans notre vie.
On entend souvent définir l'état hypnotique comme un « état modifié de conscience », or il s'agit ici de revenir au corps, de lâcher prise pour qu'une transformation puisse s'effectuer.
Nous ne sommes pas uniquement définis par notre conscience, nous sommes avant tout un corps.
Ce corps peut se charger de tensions tout au long de notre vie, alimentées par ces peurs et culpabilités, nous laissant dans un état de mal-être plus ou moins permanent, et dont nous n'identifions pas toujours l'origine.
Le corps, lui, sait, et le thérapeute n'est là que pour créer avec le patient ou la patiente l'environnement confortable et sécurisé propice à ce lâcher-prise, à être ouvert à ce qui est.

À QUI S’ADRESSE L'EÏNOTHÉRAPIE ?

Chacun·e peut ressentir à un moment donné de sa vie un mal-être et son cortège de symptômes : anxiété, angoisse, déprime, insomnies, phobies ou addictions, incapacité à « bouger », à avancer dans la vie, sentiment d'être bloqué·e dans ses projets, d'être coincé·e dans des relations difficiles.
Parfois ce sont des douleurs corporelles qui peinent à disparaître.
Tous ces symptômes sont en réalité l'expression de tensions enregistrées par le corps : des peurs et des culpabilités engrangées au fil de la vie dans des situations traumatiques ou simplement délétères, contribuant à dégrader l'image de soi.
Et ces tensions empêchent le sujet de s'adapter, tout simplement : s'adapter à ce qui est, ce sur quoi nous n'avons collectivement et individuellement aucune prise, aucun pouvoir d'intervenir.
La seule solution est donc, dans ce cas, de se laisser faire, de ne pas être dans le vouloir ni le faire, de se laisser aller dans le fauteuil qui nous porte et de nous laisser transformer.

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COMMENT SE PASSE UNE SÉANCE ?

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L'objectif ne sera pas de réactiver, ni même de retracer l'origine de ces tensions. Nous considérons que le corps saura le faire sans qu'il soit nécessaire de verbaliser, de formuler, d'essayer de comprendre, puisqu'au contraire, l'idée est de « lâcher le mental », le contrôle.
L'état d'hypnose ne sert qu'à accéder à cet état de relâchement permettant au corps de faire le travail.
C'est une hypnose légère : le patient est tout à fait en capacité d'en sortir dès qu'il le souhaite.
Il est totalement libre.
Le thérapeute n'est là que pour aider à créer le dispositif propice à ce non-faire, cette forme d'abandon et cette confiance faite au corps du sujet pour s'occuper lui-même de ses tensions.
Cette thérapie a donc pour finalité, au fil de quelques séances seulement, de permettre à l'individu de retrouver sa liberté d'ÊTRE.

TÉLÉCONSULTATION

Les eïnothérapeutes ont constaté que l'efficacité des séances était la même en présentiel comme à distance.
Pour ce faire, l'utilisation de Skype par exemple, est simple.
Cela permet à des personnes éloignées de mon cabinet de bénéficier d'un suivi en eïnothérapie.
Je suis à votre disposition pour répondre à toute question, par le biais du contact mentionné sur ce site.

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Carte et informations d'accès


1 Rue Paul Bert, 35000 Rennes

Moyens de transport

Métro - République (ligne A)
Métro Saint Germain (ligne B)
Bus - Paul Bert (lignes C6 et C4)
Bus - Thabor (ligne C5)

Parking public

Parking Kléber (payant)
Rue Kléber, 35000 Rennes

Informations pratiques

Rez-de-chaussée